Domingos Simoes Pereira, candidat du Parti africain pour l'indépendance de la Guinée et du Cap vert à la présidentielle, a accusé le Sénégal d’être derrière l'investiture d'Umaro Sissoco Embalo à la fonction de président de la Guinée Bissau.
Le leader de la formation politique aux affaires depuis l’indépendance de ce pays croit savoir que le président sénégalais veut s'accaparer de ses ressources naturelles. Une sortie faite depuis Luanda, en Angola qui n'a pas laissé de marbre les autorités sénégalaises.
Par la voix du ministre des Affaires étrangères, le gouvernement du Sénégal a qualifié ces accusations "d'allégations infondées, irresponsables et contraires aux relations de bon voisinage qui ont toujours existé entre les peuples sénégalais et bissau-guinéen".
"Fidèle à son attachement aux principes qui guident les relations entre Etats, notamment la non-ingérence dans leurs affaires intérieures, le Sénégal respecte la souveraineté de la Guinée-Bissau et ses Institutions", poursuit le communiqué du chef de la diplomatie sénégalaise.
En conclusion, le bon déroulement de la présidentielle en Guinée Bissau est salué et le président élu, Umaro Sissoco Embalo, félicité.
Investi par le Mouvement pour l'Alternance démocratique (MADEM G15); Umaro Sissoco Embalo a été déclaré vainqueur à l'issue de la deuxième manche de la présidentielle en Guinée Bissau par la Commission nationale électorale (CNE). Il a obtenu 53,55% des suffrages valablement exprimés tandis que le candidat du PAIGC est crédité de 46,45% des voix.
Cependant Domingos Simoes Pereira a rejeté les résultats de la CNE, arguant qu'il y a eu des irrégularités. Il a introduit un recours à la Cour suprême aux fins d'annulation du scrutin du 29 décembre. La juridiction suprême a exigé à deux reprises un recomptage des voix qui s'est soldé par la confirmation de la victoire d'Umaro Sissoco Embalo. D'où la décision de ce dernier d'organiser sa prestation de serment et son installation au palais de la République.
Le leader de la formation politique aux affaires depuis l’indépendance de ce pays croit savoir que le président sénégalais veut s'accaparer de ses ressources naturelles. Une sortie faite depuis Luanda, en Angola qui n'a pas laissé de marbre les autorités sénégalaises.
Par la voix du ministre des Affaires étrangères, le gouvernement du Sénégal a qualifié ces accusations "d'allégations infondées, irresponsables et contraires aux relations de bon voisinage qui ont toujours existé entre les peuples sénégalais et bissau-guinéen".
"Fidèle à son attachement aux principes qui guident les relations entre Etats, notamment la non-ingérence dans leurs affaires intérieures, le Sénégal respecte la souveraineté de la Guinée-Bissau et ses Institutions", poursuit le communiqué du chef de la diplomatie sénégalaise.
En conclusion, le bon déroulement de la présidentielle en Guinée Bissau est salué et le président élu, Umaro Sissoco Embalo, félicité.
Investi par le Mouvement pour l'Alternance démocratique (MADEM G15); Umaro Sissoco Embalo a été déclaré vainqueur à l'issue de la deuxième manche de la présidentielle en Guinée Bissau par la Commission nationale électorale (CNE). Il a obtenu 53,55% des suffrages valablement exprimés tandis que le candidat du PAIGC est crédité de 46,45% des voix.
Cependant Domingos Simoes Pereira a rejeté les résultats de la CNE, arguant qu'il y a eu des irrégularités. Il a introduit un recours à la Cour suprême aux fins d'annulation du scrutin du 29 décembre. La juridiction suprême a exigé à deux reprises un recomptage des voix qui s'est soldé par la confirmation de la victoire d'Umaro Sissoco Embalo. D'où la décision de ce dernier d'organiser sa prestation de serment et son installation au palais de la République.
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